Quand je suis en mode chien normal je suis comme tout mes compagnons j'adore ronger les os, les caresses, les gratouilles derrière les oreilles, j'aime beaucoup aussi quand on me laisse des petits morceaux de croissants ou de pains au chocolat. Je sais très bien me faire comprendre. Ralf est l'humain qui est venu me chercher dans la maison où je suis né. Avec lui c'est à la vie à la mort. Je pourrais traverser des murs de flammes, sauter d'une falaise. je pourrais me sacrifier pour continuer de le voir vivre. Tout comme je pourrais le faire pour le médecin et le pilote de l'équipe de sauvetage. Bien qu'ils ne comprennent pas toujours ma langue je les aimes tous énormément. C’est dans ma panière que je regarde Ralf dormir. Kali quand à elle c’est Michael qui l’a surveille à cause de son dodo créé artificiellement à la base. Je lève brusquement la tête en entendant la poignée de la porte s’ouvrir. Ralf n’a rien entendu je descend en bas à pas de loup. De mes yeux je vois deux individus vêtus de noir il commence à dévirer la commode. L’un deux s’empare du cadre où il y a la photo de Gabrielle, la photo que Ralf garde précieusement en son souvenir. Je m’avance avec un air méchant je commences à montrer les dents.

« Grhhhhhhhhhhhhh »

Personne n’a le droit de toucher à cette photo surtout pas des inconnus. Cet humain lâche le cadre par terre . Le verre se brise. Je m’apprête à lui sauter dessus pour l’attaquer mais l’autre humain vient de faire basculer l’étagère juste derrière moi. D’un réflexe je n’essais pas de m’enfuire mais je me tasse pour tenter de ne pas me ramasser quelques choses sur la tête ni le museau. Je n’émets aucun couinement non rien pendant que tout me tombe dessus. Le bruit a dut faire peur à ces deux inconnus car il partirent après avoir attrapé l’ordinateur portable de mon maître. Ralf et du genre à dormir comme une marmotte je ne sais pas s’il a entendu quoique se soit, ça m’étonnerais car même mon aboiement de secours ne le réveille par tout le temps mais j’aimerais bien qu’il se réveille pas trop tard car l’étagère commence à me faire vraiment mal et je ne peux pas bouger.

Je n’ai jamais été aussi pressé d’entendre la voix de Ralf, mon maître qu’aujourd’hui. Il a entendu le bruit car bientôt je vois ses jambes sur le parquet. Il me remarque il enlève ce qui me bloque au sol. Au moment où il me porte une douleur vient me chatouiller un peu partout. Il me pose sur le divan il vient à mes cotés il veut que je bouge mais moi je n’ai pas envie d’avoir encore plus mal. De ma langue je commence à lécher les mains de Ralf. Il semble vouloir que je bouge mais je n’ai pas envie ça me déjà assez mal en restant immobile. J’enfouis ma tête tout contre Ralf tout en émettant un léger gémissement

« Ouhhhhh »

Le seul humain que je ne porte par dans mon coeur c'est le vétérinaire c'est un docteur pour les bêtes. Quand je me trouve en sa préscence je n'ai pas envie de lui faire des léchouille car à chaque fois il interdit à Ralf de me faire travailler pendant plusieurs jours. Par terre se trouve lae cadre brisé avec la photo de Gabrielle. En me penchant sans bouger les pattes j'arrive à attrapper le cadre et à le remonter sur le divan. Je le pose sur les genoux de Ralf et je commence à lécher la photo comme s'il s'agissait d'un humain qui saigne. J'émet de petits gémissements triste

"aouuuuuu aouuu"

je sais peut être que c'est pour moi mais je n'aime pas les vétérinaires quand même. Ils sont toujours là à toujours tout connaitre alors qu'ils ne sont pas dans notre corps. Mon maitre est triste depuis la mort de Gabrielle moi aussi je suis triste. Je l'aimais beaucoup Gabrielle. De mon museau je me blottit plus tout contre mon maitre tout en gémissant

"Ouhh ouhh ouhhhhhhhh"

Des petites gouttes de sang commencent à tomber de mon nez sur le pantalon de ralf. Je commence à lécher le sang pour éviter d'en mettre partout. Avec un peu de chance Ralf ne le verra pas. je gémit un peu

"aouhhhh"

je n'ai pas le droit de lécher? C'set vrai que mes croquettes c'est meilleure mais je n'en ai pas vraiment envie tout de suite dans l'immédiat. Je n'aime pas vraiment quand mon maitre me force à relever la tête. Il s'en va je blottis ma tête contre le divan. Il revient avec quelques choses d'emballer que je reconnait comme étant des compresses. Il les applique sur mon museau. Bien que je n'aime pas ça je me laisse faire. J'emet un petit jappement en entendant la sonnette de la porte d'entrée

"Ouafffff"

Je me sens bien tout contre Ralf je ne veux pas qu'il se lève pour aller ouvrir mais je sais qu'il n'aura pas trop le choix. Cependant je reste blottis tout contre lui comme pour le supplier de rester là de ne pas bouger d'un poil.

Je n’aime pas quand on cherche à m’examiner comme on le fait avec les humains qui se retrouve blessé. Les pires que j’ai vu étaient Michael et Mark bien que Ralf soit assez doué dans son genre. Parfois je me dis qu’il faudrait qu’il comprennent que c’est vraiment pas drôle. Mais sachant que c’est pour mon bien je me laisse faire après tout je suis un chien gentil. Le vétérinaire arrive, Il a l’air assez pressé et ça c’est un bon point pour moi car cela signifie qu’il va faire dans la rapidité pour une fois. Ralf me caresse sur la tête comme pour m’encourager. Quand le vétérinaire commence à me toucher les pattes je lui montre légèrement les crocs comme pour l’avertir que là il fait vraiment mal et que s’il ne veut pas que je le morde il faut qu’il arrête assez rapidement.

« Grhhhhhhhh »

Je n’ai pas envie de le mordre, je n’ai pas non plus envie de me faire fâché par Ralf donc je pose ma tête sur le cadre de Gabrielle et de mes prunelles marron je fixe son portrait comme si je voulais la voir là en chair et en os.

Je ne suis pas de nature trop boudeuse seulement quand on me cherche de trop dans une situation que je qualifie injuste. Je sais dans ma caboche que le vétérinaire fait son travail. Il m’administre un anti douleur qui ne tarde pas trop à faire effet. Il lui vint soudain l’idée de m’enfiler la tête dans un espèce de cône blanc limitant mes mouvements. Je ne bouge pas. Il s’en va je n’aime pas avoir la tête dans un entonnoir. Ralf revient avec un biscuit. Je le regarde avec des yeux suppliant. Je ne veux pas être arrêter je veux travailler et protéger mon maître. Je veux qu’il enlève cet espèce d’entonnoir grotesque. Pour lui faire comprendre j’essais de l’arracher comme je peux laissant le biscuit dans la main de Ralf

« Grhhhhhhhhhhh »

Du moment que je n'ai plus ce cornet en plastique autour de cou je veux bien être sage comme une image. Ralf le sait et c'est d'aillers pour cela qu'il me l'enlève. Ces dou-douce sur ma tête me calme, même si au fond de moi je suis énnervé car je sais que je n'aurais pas le droit d'aller avec mon maitre dans l'hélicoptère pour aider à sauver des vies humaines. C'est délicatement que je prend le biscuits dans ma gueule et que je le machouille avant de l'avaler. Ils sont bons cela. Ils ont un peu le gout de vanille et j'adore. Afin d'en savourer encore plus je mcommence à lécher les doigts de mon maitre tout en remuant un peu la queue de gauche à droite pour lui montrer mon contentement.

un peu de paté? à choisir je préfèrerais un bon os à moelle mais je sais que mon maître ne m'en donnera pas. Du moins pas tant que je serais bléssé. Je crois que je vais devoir me contenter de la paté pour toutou. Enfin bon j'aime bien ça mais je préfère les restes des assiettes. C'est meilleur et ça a plus de gout. Je me contente de lécher les mains de Ralf pour lui montrer que j'ai faim tout en remuant doucement la queue de droite à gauche. Le téléphone sonna soudain. Je me mit immédiatement à japper pour dire à mon maitre de répondre

"Ouaffffffffffffffff ouaffffff"

Il faut toujorus répondre au téléphone